Costa Rica

5 au 18 mars 2014

           Depuis les années 1980, il se mobilise en faveur de la paix, la liberté et la nature. En démocratie depuis son indépendance en 1821, le pays a aboli l'armée depuis 1948, la peine de mort depuis 1882 ! Les femmes ont acquis le droit de vote depuis 1949. Son nom Costa Rica, "côte riche", lui viendrait de Christophe Colomb, ébloui par les parures des Indiens qu'il rencontre lors de son 4ème voyage. Sa nature luxuriante, ses plages encore sauvages ont servi de décor grandiose aux films "Christophe Colomb 1492" de Ridley Scott mais aussi Jurassic Park.

 De par son relief contrasté et sa situation géographique privilégiée, le Costa Rica bénéficie d'une biodiversité des plus riches du monde.
Près d'1/3 du territoire est consacré "réserve naturelle" avec 33 parcs nationaux et de nombreux parcs et réserves privés : 12000 espèces de plantes, 850 espèces d'oiseaux dont le rare Quetzal, plus de papillons que dans tous les USA et le Canada réunis, sans parler des variétés de singes, tortues, crocodiles, félins, reptiles, amphibiens dont de minuscules grenouilles aux étonnantes couleurs, plus de 160 mammifères et de nombreux poissons d'eau douce et de mer...

Après une première approche avortée en 2010 (nous sommes finalement partis découvrir l’Indonésie: www.jeromecitytrip.com/Indonesie1.htm) , une somme de facteurs nous a décidé à découvrir enfin l’Amérique latine : envie de soleil en plein hiver européen, de nature sauvage et inapprivoisée, de dépaysement total et, non des moindres, des billets d’avion à un prix fortement alléchant (425€ alors qu’habituellement, les prix pour le Costa Rica depuis Paris ou Bruxelles oscillent entre 700€ et 800€ pour cette période).

Bref, tout était réuni pour enfin découvrir le Costa Rica, cette "Suisse d’Amérique Centrale" comme elle est souvent qualifiée !

 

Jour 1 : mercredi 5 mars: Paris - New York - San José

 

La journée est quasiment consacrée au trajet. Rien à signaler si ce n’est la mauvaise surprise en rentrant dans l’avion, aimablement affrété par American Airlines : il s’agit d’un « vieux » Boeing 767, certes bien entretenu, mais ne disposant pas d’écrans vidéo individuels !

Pas très grave en soit, certes, mais il faudra du coup combler les 8H30 de trajet jusque New York autrement. Heureusement, on avait prévu le coup en chargeant des vidéos sur téléphone et tablette. Et les gesticulations et roucoulements d'un jeune couple d’hollandais (ou flamands) très amoureux juste devant nous nous occuperont un peu…

Nous avions des craintes concernant cette escale à l'aéroport JFK. Nous avions en effet un petit deux heures pour récupérer nos sacs à dos, passer l’immigration, les douanes et accéder au terminal d’embarquement pour San José, la capitale du Costa Rica. Finalement, tout fut bouclé en même pas une heure !

Le vol New York-San José, toujours avec American Airlines, et toujours sans écran-vidéo(!), est rempli de français ! Aie, nous espérons que nous n’entendrons pas parler français à tous les coins de rue une fois arrivés sur place. Le français a peut-être beaucoup de défauts mais au moins on ne peut pas le taxer de ne pas aimer la découverte et l’aventure : partout où nous sommes allés aux quatre coins du monde, un même constat : la présence massive de compatriotes. Vive les congés payés et les RTT !

Nous arrivons vers 22H à l'aéroport international Juan Santamaria. Il est grand temps d'aller se coucher...

Apartotel La Sabana : Excellent hôtel ! A 500 mètres du stade national. Un peu excentré du centre-ville mais dans un quartier calme et aéré. Nous sommes arrivés à 22H30 et on nous a offert du thé, café et des gâteaux. Belle chambre, piscine au centre de l’hôtel et petit-déjeuner de folie : viennoiseries, thé, chocolat chaud, café, fruits, pancakes, yaourts, plusieurs variétés de jus de fruits, 6 préparations aux œufs différentes (omelette, œufs durs, œufs pochés, œufs brouillés…). Et tout est fait maison !

A savoir aussi, l’hôtel propose gratuitement une navette de/vers l’aéroport. 70$(56€)/Nuit.

 

Jour 2 : jeudi 6 mars: San José - Volcan Poas - Arenal

 

Réveillés à cinq heure du matin, jet-lag oblige, nous attendons sagement au bord de la piscine l’arrivée de notre loueur de voiture.

Premier constat, l’heure Costaricienne, c’est un peu comme l’heure africaine. Rendez-vous fixé à 8H, arrivée réelle à 8H30. Pas très grave vous me direz sauf que ce matin, on a prévu de partir tôt car notre première escapade doit nous emmener au sommet du volcan Poas, situé à environ 45 minutes en voiture de la capitale. Le hic, c’est que dans 99% des cas, une fois passée l'heure fatidique de 9H30, le sommet et le cratère sont englués sous une épaisse brume.

Une fois les formalités administratives réglées(et c'était franchement pas gagné sachant que nous avions laissé à Lille nos deux permis de conduire et que nous n’avions en notre possession, heureusement, que nos 2 permis de conduire internationaux…périmés depuis 2013 !), les clés du 4X4( oui, au Costa Rica, il vaut mieux louer ce genre de voiture, j’y reviendrais plus tard) en notre possession, on file tout droit, plutôt tout la haut, en direction du volcan Poas.

Pour y arriver, on emprunte une superbe route panoramique, la route des hortensias (je vous laisse devinez pourquoi ce nom). C’est aussi un haut-lieu de la culture du café et de la fraise. D’ailleurs, sur la route, vous trouverez des dizaines de marchands vous proposant des paniers remplis de fraises pour 2-3$.

Revenons au volcan. Nous y arrivons vers 10H30. On se dit que c’est râpé pour observer le cratère sous une bonne visibilité. Et bien non, aujourd’hui nous sommes dans la configuration 1% de chance qu’il ne soit pas recouvert de fumée après 9h30.

Située à 2700 mètres d’altitude, une vaste terrasse offre aux visiteurs une vue époustouflante au cœur du cratère effondré formant une caldeira, de 300 mètres de profondeur et 1,6 km de diamètre, d’où s’échappent des fumerolles sulfureuses. Il contient un lac acide aux eaux turquoise et un cône de 75 mètres de haut, apparu dans les années 50 !  Son jet d’eau boueuse peut monter jusqu’à cent mètres !

15 minutes après notre arrivée, on n’y voyait plus rien !

Ce volcan, le plus visité du pays, sans doute dû à sa proximité avec la capitale, enregistre ces dernières années des pics d’activité importants. La dernière grande éruption date de mars 2006. Le séisme du 9 janvier 2009 a dévasté une grande partie des environs.

Toutefois, un sentier de deux kilomètres permet d’arriver à un deuxième cratère endormi abritant le lac Botos, aux eaux froides d’un bleu intense.

  

  

Pour louer notre 4X4, nous sommes passés par Pierre, un français installé au Costa Rica. Il a créé un réseau solidaire et propose ainsi de jouer les intermédiaires. Ses tarifs sont bons, souvent moins chers qu'en demandant directement des devis à d'autres compagnies de location et surtout, les tarifs sont transparents et sans (mauvaises) surprises au final (pas d'options qui font grimper la facture): GPS, assurances, conducteur(s) supplémentaire(s)...tout est inclus: https://www.toutcostarica.com/location-de-voiture-4x4-costa-rica.html

Nous avons payé 630$ soit environ 450€ pour 11 jours de location, pour un Daihatsu Bego, un 4X4 plutôt milieu de gamme.

. Pas besoin de passer par une agence pour arriver au volcan Poas. Une route vous amène directement jusqu’au parking du parc. De là, un chemin pavé de 500 mètres vous conduit devant le cratère du volcan, sans effort ! L’entrée du parc est à 10$(soit 7,5€) par personne, comme dans pratiquement tous les parcs nationaux du Costa Rica. Le parking coûte 3$ mais il est gardé et surveillé.

Vers midi, nous prenons la route vers notre étape suivante : La Fortuna, petite ville nichée à proximité du parc et du volcan Arenal.

Une route superbe de par les somptueux paysages rencontrés mais éprouvante car très montagneuse et sinueuse.

Au Costa Rica, pas de souci pour la conduite mais il faut savoir deux choses importantes : les locaux ont une conduite très agressive et il est très dur de doubler tout véhicule lent car rares sont les routes à 2 voies. Sinon, les routes principales sont  relativement en bon état.

Nous arrivons à notre lodge de La Fortuna en fin d’après-midi. C'est sublime car situé juste en face du volcan. Volcan qui, par pudeur, nous cache son sommet conique, enrobé de nuages...

Pour se reposer et se détendre du voyage en avion et du trajet de ce jour, nous nous rendons à l’une des nombreuses sources d'eaux chaudes basées à proximité du volcan.

Nous choisissons The Springs. Moins touristiques que les sources de Tabacon ou Baldi, car situées plus dans les terres, au milieu d’une jungle et au bout d’un sentier cabossé de presque 4 kilomètres, nous trouvons là un petit coin de paradis caché sur Terre !

Les sources sont incrustées dans un complexe de luxe, une sorte de ressort à l’américaine. C’est ici que fut tournée la dernière saison de l'émission TV "Bachelor USA".

C’est franchement très classe (la moins chère des chambres est à 500$!). Et il y a peu de monde. Il fait nuit et on se retrouve quasiment seuls au milieu des 18 bassins d’eaux chaudes, avec pour chacun d’entres-eux une température et une composition en zinc, bicarbonate, souffre, sel…unique ! Ambiance cosy et romantique assurée !

 

  

  

Nous mangeons à l’un des 4 restaurants du Ressort. Pour 8$, nous avons le droit à une délicieuse salade et à un service digne d’un grand restaurant.

Franchement, je ne peux que recommander ces "hotsprings". Nous sommes passés devant celles de Baldi, Tabacon, Ecothermales…où nous avons vu beaucoup de cars de touristes.

Cela prends 10 minutes de plus pour arriver à The Springs, mais tout cela se mérite !

Nous avons bénéficié d’une offre du moment : 50$/personne pour 2 jours d’accès aux sources.

Facilement accessible par une piste de quatre kilomètres, à partir de la route 142, ce grand et luxueux complexe hôtelier propose aux visiteurs d’un jour de profiter de ses installations. Plusieurs piscines thermales de températures différentes, dont une équipée d’un long toboggan (que les enfants adorent), 4 restaurants à l’atmosphère variée, dont certains bénéficient d’une vue superbe sur le volcan Arenal, 5 bars, Spa, massages, salle de remise en forme, jardins, sont à disposition des visiteurs. Et aussi, visite guidée (anglais / espagnol) du centre de protection de félins (jaguars, ocelots, pumas…). Il existe aussi des offres avec un repas compris. www.thespringscostarica.com

Ainsi, nous avons pu tester de nuit, puis de jour. Il y a un peu plus de monde en journée mais en contrepartie, on apprécie plus le décor naturel extérieur : une jungle, avec le volcan Arenal en second plan. Exceptionnel!

 

Jour 3 : vendredi  7 mars: Arenal

 

Comme hier, et comme pour le volcan Poas, nous avons de la chance.

Souvent sous les nuages, le majestueux volcan Arenal se dévoile totalement pour nous !

De notre chambre, nous avons une vue splendide sur l’Arenal et son cône, typique des volcans de type Strombolien. C’est le volcan le plus actif du Costa Rica. Les tribus précolombiennes y voyaient la « maison du dieu du feu ». Le volcan s’étant assagi, on ne peut plus assister au splendide spectacle qu’offrait le rougeoiement des coulées de lave nocturnes.

  

Bien que les scientifiques considèrent le volcan Arenal comme toujours actif, sa silhouette majestueuse drapée dans la brume invite à croire le contraire.

Nous prenons ensuite la route des fameux Ponts Suspendus (www.hangingbridges.com - 24$/P) : un sentier de 3 km qui traverse une forêt primaire vierge en empruntant 8 ponts fixes et 6 ponts suspendus (de 48 mètres à 98 mètres de long) sur des ravins.

Ce parcours relativement facile et parfaitement sécurisé gravit la montagne et permet d’observer de près chaque niveau de la forêt tropicale humide, du sol à la canopée.

  

  

  

Il fait très chaud en ce début d’après-midi, près de 35 degrés. Nous changeons notre programme : nous abandonnons l’idée d’une randonnée (la deuxième de la journée après les deux heures passées aux ponts suspendus) au pied du volcan Arenal pour, à la place, retourner se détendre aux sources chaudes de The Springs. Ce sont les vacances après tout!

En arrivant au ressort, on nous explique qu’avec nos billets, nous avons la possibilité de visiter un refuge pour animaux, situé en contrebas du complexe. Les sources attendront un peu…Nous y verrons ainsi de près des toucans, des ocelots (troisième plus gros félin du pays après les pumas et jaguars) ainsi que le singe Tyson (qui porte d'ailleurs bien son nom, un vrai dingue celui-là !).

  

  

  

Plats succulents, présentation recherchée et service irréprochable pour les quatre restaurants installés au sein même du Ressort. Et pour un prix identique voir même inférieur à ce que l’on trouve en ville à La Fortuna. Comptez 8-9$ pour une salade ou burger et 13-14$ pour des plats de viande.

Campo Verde : Situation exceptionnelle, au pied du volcan Arenal. 10 lodges au charme indéniable. Petit-déjeuner excellent : choix entre 3 menus (sucré, salé ou ticos, avec le traditionnel galopinto –riz et haricots noirs-). 170$(124€)/ 2 nuits.

 

Jour 4 : samedi  8  mars: Parc national Tenorio

 

Sous une chaleur une nouvelle fois accablante, nous prenons la route en direction de Bijagua, ville la plus proche du Parc National Tenorio. Après 2h30 de route somme toute agréable, nous arrivons à l’entrée (bien dissimulée) du parc Tenorio.

Et là, début de l’enfer : les dix derniers kilomètres pour arriver au parking du parc se font sur un sentier non-asphalté fait de pierres, cailloux, gravats et poussière. Pendant près de trente minutes, on est secoué comme jamais. 4X4 obligatoire ! Il faut croire que le Tenorio et le trésor qu’il renferme, le sublime Rio Celeste, se méritent !

Après deux bonnes heures de marche, par des entiers balisés qui serpentent une forêt dense, arrivée au magnifique et surprenant Rio Celeste, aux eaux bleu-turquoise…

C’est franchement exceptionnel de beauté ! Vue d’en haut, la grande cascade du Rio Celeste déverse son eau dans un superbe bassin aux allures d’immense piscine !

Les Ticos (surnom des habitants du Costa Rica) aiment raconter que Dieu, après avoir peint le ciel, laissa tremper ses pinceaux dans l’eau du Rio Celeste, lui donnant cette couleur azur.

La réalité sur sa couleur serait plutôt la combinaison d’éléments tels que le soufre et le carbonate de calcium qui lui donne cette teinte turquoise sur une petite trentaine de kilomètres.

  

  

  

     

  

 

Vers 15h30, après 4h30 passés dans le parc, nous sortons en empruntant le même tronçon qu’à l’aller. De toute façon y’a pas le choix ! Et heureusement que nous n’avons pas eu de pluie car je n’ose imaginer cette route avec de la boue…

Nous roulons environ 1H30 pour arriver jusque Libéria, la capitale historique de la région du Guanacaste.

Ce qui nous frappe depuis ce matin et notre départ de la région d’Arenal, c’est le changement radical du paysage et de la végétation. Nous sommes passés d’une végétation luxuriante et très verte, à une végétation beaucoup plus sèche et aride.

Pour arriver jusque Libéria, nous empruntons une portion de la Panaméricaine, légendaire route qui traverse tout le continent américain, de l’Alaska jusque Ushuaia en Argentine !

En arrivant dans le Guanacaste, on arrive aussi en territoire Cow-boy, que l’on appelle ici les Sabaneros! Les haciendas et les chevaux en toute liberté sont légions ici !

A la recherche désespérée d’un restaurant typique de la région, on finira finalement chez Papa John’s, célèbre chaine de pizzas américaine…

 

Jour 5 : dimanche  9  mars: Parc national Rincon de la Vieja

 

A 9H pétante, nous voilà au Rincon de la Vieja, volcan spectaculaire émaillé de 9 cratères !  Le versant Est du volcan reste humide toute l’année alors que le versant Ouest bénéficie d’une saison sèche.

Le parc offre de superbes ballades. Celle menant jusqu’au principal cratère du volcan, d’une durée de huit heures aller/retour, est actuellement fermée à cause de l’activité du volcan, qui recrache un trop fort taux de fumées nocives.

Il existe deux entrées : soit à l’hacienda Santa Maria, soit à au poste de gardes forestiers de Las Paillas (celle que nous avons choisie, à environ 45 minutes de Libéria). Toutes deux mènent à des bassins de boue, des sources sulfureuses d’eau chaude, des cascades et des fumerolles.

Les cinq kilomètres de randonnée démarrent dans la partie aride du parc (quelle chaleur!) et se terminent dans une forêt tropicale.

Sur le chemin, nous croisons des capucins ainsi que des coatis !

  

  

  

  

  

  

  

  

  

Nous nous sommes garés à proximité de l’hacienda Guachipelin, une hacienda traditionnelle qui propose un grand nombre d’hébergements. L’occasion était trop belle d’organiser une ballade à cheval autour du volcan ! Pendant près de deux heures, nos deux montures se feront un plaisir de faire la course au petit trop. L’un n’acceptant pas de laisser passer l’autre en première position, et inversement. J’ai encore mal aux fesses…

Au bout d’une heure, notre "sabanero" accompagnateur nous emmène au bord d’une chute d’eau au milieu de nulle part. Elle est uniquement pour nous. Avec plus de 35 degrés à l’ombre (sauf qu’il n’y a pas d’ombre !), le plongeon dans une eau à peut-être 14-15° est certes rafraichissant mais il nous fallu un certain courage pour y rentrer.

L’eau est d’une pureté incroyable. Une sortie idyllique qui aurait pu tourner au cauchemar car en voulant me rhabiller, j’ai malencontreusement glissé et failli chuter du haut de la paroi…Heureusement, plus de peur que de mal.

Au final, une superbe journée, une nouvelle fois…

  

  

Pour terminer cette journée, nous nous rendons à Libéria pour une découverte rapide de cette ville typique du Guanacaste, avec ces maisons blanchies à la chaux et aux toits en terre cuite.

C’est dimanche, et nous arrivons pour la fin de la messe dominicale. Une foule compacte sort de l’église principale, située à côté de la place-centrale de la ville. A 17H, tous les magasins baissent leur rideau.

  

  

Cette fois-ci, pas possible de finir la journée chez Papa John’s ou au Mac Donald. A défaut d’un restaurant Ticos un tantinet gastronomique (hormis les traditionnels sodas, petits restaurants typiques du Costa Rica), nous dénichons un bon petit restaurant italien, Pronto.

Très bon restaurant italien, Pronto, dans une rue adjacente à la grande place centrale. Excellents plats de pâtes et pizzas et Calzone cuites dans un énorme feu de bois.

Tarif de 35$ par personne pour 2H de ballade à cheval (ou 25$ pour une heure) avec Adventura Tours, agence située juste en face de l’hacienda Guachipelin.

Best Western : Hôtel correct, dans les normes européennes mais sans plus. Manque de charme par rapport à ce que l’on a eu précédemment. L’extérieur est prometteur, avec une belle piscine notamment, mais les chambres sont un peu vieillottes bien que propres et confortables. Toutefois, les chambres sont actuellement en rénovation. Petit-déjeuner plus que convenable.

              

Jack Johnson & Buena Vista Social Club -Better Together-